Il est mort, mais il avait encore du cash à distribuer
Si vous pensiez que les funérailles se résument à des larmes et des mouchoirs, détrompez-vous. À Détroit, Darrell Thomas, alias «Plant», a transformé son enterrement en block party céleste… avec pluie de billets en bonus. Oui, vous avez bien lu. Le monsieur a littéralement fait pleuvoir 5 000 dollars depuis un hélicoptère. Pas des pétales de roses. Pas des confettis. Du vrai fric.
Funérailles 2.0 : enterrement sponsorisé par la Fed ?
Ce 27 juin, alors que la famille, les amis et quelques curieux discrets se rassemblaient autour de son garage auto, un bruit sourd fend le ciel. Ce n’est pas le tonnerre, ni un super-héros Marvel. C’est un hélicoptère. Et là, magie : billets + pétales de roses tombent comme s’il avait gagné au loto céleste.
Certains ont levé les bras. D’autres ont sorti leurs sacs. Quelques-uns ont même béni le ciel. On a frôlé le miracle bancaire.
Le patron du car-wash qui lavait aussi les cœurs
Darrell Thomas n’était pas juste un homme d’affaires. Il était le boss du car-wash du coin, mais aussi un papa, un pilote de course, un philosophe de rue, et apparemment… un distributeur automatique volant dans une autre vie.
Ses fils, Smoke et Jonte, ont exaucé cette ultime volonté bien pensée : « Faites en sorte que je rende les gens heureux, même après ma mort. » Mission réussie. Et avec style.
FAA, FBI, WTF ?
Évidemment, quand on jette du fric depuis le ciel, quelques institutions lèvent un sourcil. La FAA (l’aviation américaine) enquête pour savoir si ce genre de pluie verte est bien réglementaire. Mais rassurez-vous : la police locale, elle, a applaudi l’initiative. Zéro bagarre. Zéro blessé. Zéro billet volé (enfin… officiellement). Détroit a connu sa première averse monétaire pacifique.
L’héritage d’un homme pas comme les autres
«Connaître Plant, c’était l’aimer», a résumé sa nièce. Il était de ceux qui offrent un lavage gratuit à une mère débordée, une pièce à un sans-abri ou… 5 000 $ à toute une ville. Un vrai Robin des Rues, version hydraulique.
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