Un fait divers glaçant secoue l’opinion publique. KEWANG BAKAM FEWO BIKOE Victorine, une restauratrice bien connue, a récemment avoué avoir mélangé ses urines à ses plats d’okok pour attirer une clientèle nombreuse et augmenter ses revenus.
Selon ses propres déclarations, elle aurait été initiée à cette pratique par un charlatan, présenté par une amie, qui lui avait promis prospérité et succès pour son établissement. Pour garantir cette «réussite», le féticheur lui aurait demandé d’uriner dans la marmite de cuisson et d’y ajouter des substances mystiques.
Et effectivement, son restaurant a rapidement gagné en popularité. Cependant, cette ascension fulgurante a eu un prix : le charlatan, en possession de vidéos compromettantes, aurait ensuite fait chanter la restauratrice, exigeant des sommes exorbitantes pour garder le silence. À bout, Victorine aurait cessé de céder à ses demandes, ce qui a conduit le maître-chanteur à publier une vidéo accablante sur les réseaux sociaux.
Cette affaire, qui suscite colère et indignation, relance le débat sur les pratiques occultes dans le milieu entrepreneurial. Elle soulève également des questions cruciales sur l’hygiène dans les établissements de restauration.